Mannequin le plus riche du monde : Découvrez qui occupe la première place !

En 2023, un mannequin a franchi pour la première fois le cap symbolique du milliard de dollars de fortune personnelle, bouleversant les codes d’une industrie longtemps dominée par des contrats éphémères et des revenus inégaux. Cette ascension fulgurante ne relève ni du hasard ni d’un simple coup de projecteur.

Désormais, les podiums ne sont plus la principale source d’enrichissement pour les tops les plus en vue. Le modèle économique du mannequinat a pris un virage radical : diversification, investissements malins et alliances avec des marques d’envergure redessinent le paysage. Un nouveau classement vient justement pointer une figure dont l’itinéraire incarne cette transformation profonde.

Devenir mannequin aujourd’hui : entre rêve, influence et enjeux économiques

Oubliez l’idée que grimper au sommet se résume à défiler à Paris ou à décrocher une campagne Calvin Klein. Le métier de mannequin s’est réinventé, au carrefour de la mode, du business et de l’influence numérique. Instagram a renversé la donne. Les Kendall Jenner, Gigi Hadid ou Bella Hadid ne se contentent plus de prêter leur visage : elles orchestrent une marque personnelle, dictant les tendances à l’échelle planétaire.

La France reste un centre névralgique, Paris demeure la référence, mais la compétition s’étend bien au-delà. États-Unis, Royaume-Uni, Brésil : chaque territoire façonne ses propres stars, façonne aussi des fortunes inédites. Ce classement révèle une rivalité féroce, où chaque million engrangé raconte une stratégie : publicités, partenariats, créations de lignes de cosmétiques ou de vêtements.

Les réseaux sociaux, eux, transforment la notoriété en capital. Un post de Naomi Campbell ou Adriana Lima peut générer davantage qu’un passage sur un podium, et dans cette course, la diversification fait la différence. Aujourd’hui, un mannequin jongle entre image, engagement, placements de produits et parfois même entrepreneuriat.

Voici les leviers que mobilisent les mannequins pour bâtir leur succès :

  • Défilés pour les grandes maisons de couture
  • Contrats exclusifs avec les plus grandes marques mondiales
  • Partenariats et campagnes sur les réseaux sociaux
  • Investissements dans l’univers de la beauté ou dans la technologie

Les carrières s’inscrivent dans la durée, grâce à la capacité à rebondir, à se renouveler. Gisele Bündchen, Kate Moss, Karlie Kloss : chacune incarne ce parcours où la renommée se mesure en influence autant qu’en chiffres, et où chaque nouveau projet pèse lourd dans la balance.

Comment les parcours professionnels des mannequins évoluent-ils vers l’entrepreneuriat ?

Les podiums ne suffisent plus à nourrir l’ambition. À l’image de Kendall Jenner ou Karlie Kloss, beaucoup franchissent le pas vers l’entrepreneuriat. Elles façonnent la mode, mais aussi leur propre destin : création d’entreprise, lancement de marques, conseil en image… le mannequinat devient un point de départ.

Gisele Bündchen a lancé la dynamique en multipliant les collaborations et en investissant dans l’écologie ou le bien-être. Heidi Klum a su transformer ses apparitions en parts de marché, de la télévision à ses propres collections. Tyra Banks s’est inventée productrice et chef d’entreprise avec une émission phare et une marque de cosmétiques. Les revenus ne proviennent plus uniquement des agences, mais bien d’une stratégie de diversification menée avec rigueur.

Voici les domaines dans lesquels ces mannequins étendent leur influence :

  • Lancement de leurs propres marques (cosmétiques, mode, accessoires…)
  • Participation à des fonds d’investissement
  • Création de plateformes de formation en ligne ou d’incubateurs
  • Développement de sociétés de production ou d’agences de conseil

Le phénomène prend de l’ampleur : Cindy Crawford et Claudia Schiffer gèrent leur image comme des entreprises à part entière. Les réseaux sociaux servent de laboratoire géant pour tester de nouveaux concepts et modèles économiques. D’un shooting à New York à une levée de fonds à Los Angeles, la réussite se construit projet après projet, euro après euro.

Classement 2024 : qui est le mannequin le plus riche du monde et quelles sont les tendances ?

Le classement 2024 place une nouvelle fois en tête un nom devenu synonyme de réussite et de longévité : Gisele Bündchen. Avec plus de 400 millions de dollars estimés, la Brésilienne domine très largement le secteur. Une décennie de contrats XXL, des campagnes pour Calvin Klein ou Chanel, mais surtout une diversification dans le bien-être et l’immobilier expliquent cette suprématie. Sa fortune va bien au-delà des défilés, chaque investissement venant densifier un patrimoine déjà colossal.

Dans son sillage, Kendall Jenner et Karlie Kloss s’imposent grâce à leur maîtrise des réseaux sociaux et à des collaborations mondiales. Kendall Jenner franchit la barre des 60 millions de dollars, portée par l’alliance de la visibilité, d’investissements ciblés et de contrats avec des griffes internationales. Karlie Kloss conjugue défilés, initiatives tech et projets éducatifs, incarnant le visage d’une nouvelle génération de mannequins investisseurs.

Le classement fait aussi ressortir la montée en puissance de Bella Hadid et Gigi Hadid, qui transforment chacune de leurs apparitions en opportunité commerciale. Les tendances de 2024 confirment la percée des mannequins entrepreneurs, capables de générer des fortunes considérables bien au-delà du circuit classique de la mode. La réussite se joue désormais sur la maîtrise de son image, le flair pour anticiper les marchés et l’habileté à exploiter de nouveaux leviers économiques.

Mannequin stylé dans la vitrine d

D’hier à aujourd’hui : l’ascension des mannequins en figures majeures de la mode et de l’économie

Le mannequin n’est plus cette silhouette effacée derrière les créateurs. Depuis les années 1980, la profession s’est hissée au rang de moteur de la mode et de l’économie mondiale. Paris, New York, Milan, Londres : chaque ville impose sa cadence, chaque casting peut révéler des potentiels à plusieurs millions de dollars, parfois même plus pour les plus stratèges.

Des icônes comme Naomi Campbell, Kate Moss ou Claudia Schiffer ont posé les premiers jalons d’une industrie où la femme devient une marque, où l’image se transforme en actif. Les années 2000 voient arriver une nouvelle génération, portée par Kendall Jenner, Bella Hadid, Gigi Hadid. Le classement Forbes Magazine salue leurs fortunes, mais aussi leur capacité à investir, négocier, et à multiplier les activités bien au-delà du simple défilé.

La France, avec Paris en tête, reste un point d’ancrage. Pourtant, la scène est désormais mondiale. Digitalisation, explosion des réseaux sociaux, collaborations avec des géants comme LVMH ou Hermès, et incursions dans la tech via Amazon, Meta ou Microsoft : tout bouge. Les mannequins d’aujourd’hui transforment chaque apparition en atout stratégique. Leur quotidien ? Un modèle d’affaires à part entière, entre couture, influence et investissements à plusieurs millions d’euros.

Qu’on le veuille ou non, les reines du podium sont aussi devenues des stratèges de haut vol. Leurs fortunes ne se construisent pas seulement sous les projecteurs, mais bien dans les coulisses d’une économie mondiale où tout peut basculer à la vitesse d’un clic.

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